Centre Culturel Français de Tripoli - Liban

Centre Culturel Français de Tripoli - Liban

Le CCF à travers ses pérégrinations

1959 – 1979

Le CCF ouvre ses portes en 1959 à Tripoli rue Gemmeyzat (rue des sycomores). Il est situé au rez-de-chaussée d'un vieil immeuble. Il est constitué de l'administration, de salles de cours et d'une bibliothèque. A l'époque, les grandes écoles de Tripoli exigeaient de leurs élèves de se présenter au certificat d'études, au brevet et au baccalauréat français.

1979 – 1996

Le CCF déménage dans un immeuble flambant neuf à proximité du Maarad.  Il s'étale sur deux étages et demi occupés par les bureaux administratifs, la salle d'attente avec les périodiques français mis à disposition des visiteurs, la bibliothèque avec ses secteurs jeunesse et adultes et les salles de cours. Il possède également une salle polyvalente pouvant accueillir jusqu'à cent personnes. L'espace sera tour à tour salle de conférence, salle de projection, salle d'exposition… Un atelier se trouvant à l'entresol (sur le palier) est occupé par le BAL (Bureau d'Action Linguistique)  propose des livres pédagogiques et éducatifs, des manuels scolaires et un soutien aux professeurs de français. Le BAL occupera par la suite une salle plus spacieuse à l'étage à côté de la bibliothèque et des salles de cours.

1996 - …

Encore une fois, le CCF déménage mais cette fois pour être logé dans un nouveau centre commercial. Il s'étale sur deux étages. Durant presque 4 ans, le nouveau CCF sera en chantier permanent afin d'exploiter au maximum l'espace. Finalement, le CCF sera constitué de six salles de cours à l étage, de plusieurs bureaux administratifs et de la médiathèque qui au fil des ans a connu beaucoup d'aménagement afin de l'agrandir. Il y a deux ans, le CCF a loué deux salles de cours supplémentaires à l'extérieur dont l'une d'elle peut-être utilisée comme salle polyvalente. Elle a joué, à plusieurs reprises, le rôle de salle d'exposition et en a reçu plusieurs. Les dernières en date sont  « Traces de Tinjis à Tripolis », exposition de gravure de Michèle Philippe-Arellano et une exposition de calligraphie de sel de Mouhamad Abou Aziz, un calligraphe jordanien, et du photographe français Jean-Loup SAUVERZAC. 

 



07/09/2009
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